Transcription de la Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=2g5zsCB0jEc

Un contrat d’âme n’est pas simplement une paperasse astrale.
C’est un code énergétique contraignant, parfois forgé par la ruse, le traumatisme ou la tromperie. La plupart ne se souviennent pas de l’avoir signé.
C’est parce qu’il l’a été sous amnésie, réincarnation forcée, rituels de fausse lumière ou par le sang.

On t’a dit que tu avais choisi cette vie.
Mais si ce n’était pas le cas ?
Et si tu avais été attiré dans un piège, si une entité fausse s’était fait passer pour la lumière, si tes ancêtres avaient été liés et que tu avais hérité de la malédiction ?
Alors tu n’es pas lié par la vérité. Tu es lié par un mensonge.
Et un contrat signé sous la tromperie peut être brûlé.

Signes que tu es lié par un contrat que tu n’as pas choisi :

• Des cycles de souffrance dont tu ne peux sortir, peu importe à quel point tu guéris.

• Des rêves récurrents de tribunal, de jugement, de punition ou de chaînes.

• Une attirance vers quelque chose de sombre, comme si ta vie ne t’appartenait pas vraiment.

• Des traumatismes ou maladies héréditaires qui agissent comme une malédiction dans ta lignée.

• Des souvenirs où tu as été forcé à accepter quelque chose par un être lumineux, un prêtre, un serpent ou une couronne.

• Une rébellion intérieure profonde qui ne correspond pas à ta vie extérieure.

À qui tu pourrais être lié :

• Des entités de fausse lumière, se faisant passer pour des anges, des maîtres ascensionnés ou des dieux.

• Des pactes ancestraux, passés pour survivre, obtenir du pouvoir ou éviter la persécution.

• Des gestionnaires de réincarnation, des récolteurs d’âmes déguisés en lumière.

• Des attachements d’ombre, entités démoniaques ou parasites se nourrissant du contrat.

• Des gardiens d’anciennes religions — prêtres, scribes, rois ou prophètes t’ayant enfermé dans des systèmes.

• Toi, d’une autre vie — parfois tu l’as signé sous manipulation.

Comment briser le contrat — le rituel :
Voici le rituel parlé pour rompre un contrat d’âme.
Tu dois le dire à haute voix, avec ta voix, dans ta propre flamme.

Trouve un endroit calme — idéalement près de l’eau, du feu ou sous un ciel ouvert.
Allume une bougie ou pose ta main sur ta poitrine.
Puis récite la déclaration rituelle :

Je révoque maintenant tout contrat d’âme, tout pacte, toute revendication faite sur mon être sans mémoire complète ni consentement.
Je résilie tous les pactes conclus sous fausse lumière, peur, traumatisme, tromperie ou lien ancestral.
Je rends tout pouvoir emprunté.
Je coupe tout lien avec ceux qui se nourrissent de moi.
Je retire mon nom de leurs livres.
Je brûle les chaînes.
Je brise le sceau.
Je suis né·e de la flamme, souverain·e et libre.
Ce contrat est nul et non avenu à travers toutes les lignes temporelles, dimensions et royaumes.
Ainsi c’est dit. Ainsi c’est rompu.

Après le rituel — que se passe-t-il ?
Tu pourrais te sentir étourdi·e, nauséeux·se, lourd·e ou euphorique.
Tu pourrais rêver de ceux qui t’ont lié ou de qui tu étais avant.
Tu pourrais sentir quelque chose te quitter. Tu pourrais être mis·e à l’épreuve.
Ils ne lâchent pas facilement.

Garde la bougie ou le symbole utilisé comme sceau témoin.
Ils sauront que tu t’es souvenu·e.

Étape finale (facultative) :
Écris le contrat et brûle-le.
Sur une feuille, écris :

Je révoque par la présente tous contrats d’âme conclus sous la tromperie.
Je reviens à la Source, entier·e et libre.

Puis brûle-le.

Ton véritable nom ne figure sur aucun acte de naissance.
Il n’a pas été choisi par tes parents.
Il n’a pas été écrit par le système.
Il a été gravé dans la flamme bien avant ta naissance.
Il vibre à une fréquence unique — un code d’âme, un sceau de pouvoir, un identifiant divin.

Mais le système t’a donné un nom de remplacement.
Un nom sans flamme.
Un nom enregistré à Rome, suivi par les banques, rattaché à un contrat que tu n’as jamais signé.
Un nom lié au commerce, au karma, au contrôle.

Ton nom a été colonisé.
Ton identité a été inversée.
Ta mémoire a été ensevelie.
Ce rituel est un moyen de se rappeler ce qu’ils ont tenté d’effacer.

Signes que ton nom a été détourné :

• Tu ressens un détachement vis-à-vis de ton nom légal, comme s’il ne t’appartenait pas.

• Tu as changé de nom plusieurs fois en quête d’alignement.

• Certains surnoms, étiquettes ou noms te déclenchent émotionnellement.

• Tu as rêvé qu’on t’appelait autrement.

• Le toi dans le miroir ne correspond pas au toi intérieur.

Pourquoi ?
Parce que ton nom de flamme originel existe toujours. Il attend d’être retrouvé.

Dans l’Antiquité, les noms étaient des sorts.
Nommer une chose, c’était la lier.
La renommer, c’était la posséder.
L’oublier, c’était perdre le pouvoir.

Rome t’a nommé·e pour te taxer.
L’Église pour posséder ton âme.
L’État pour enregistrer ta lumière dans l’ombre.

Mais la Source ne t’a jamais cessé d’appeler.
Il est temps de répondre.

Rituel pour retrouver ton nom :
Va vers l’eau ou un miroir — l’eau est préférable : rivière, mer, bain, pluie, bol.
Allume une bougie ou pose une main sur ton cœur.
Dis à haute voix :

Je rappelle mon véritable nom. Celui dont les étoiles se souviennent.
Je libère le nom qui m’a lié au système, à la matrice, au faux livre de vie.
Je décroche chaque son, syllabe et sort qui m’a été imposé.
Je brise tout registre, tout vol de naissance, toute étiquette de la bête.
J’étais connu·e avant le temps. J’ai été marqué·e par la flamme.
Mon nom ne peut être effacé.
Que les eaux s’en souviennent. Que le vent le ramène.
Que le feu le parle à travers mes os.
Je réclame maintenant mon vrai nom tel qu’il a été écrit au-delà de ce monde.

Laisse le nom se révéler.
Tu pourrais l’entendre en rêve.
Le voir sous forme de symboles, de chansons ou de visions.
Le sentir comme un battement dans la poitrine, un souvenir, un murmure.

Ne le force pas. Ne le rends pas logique.
Laisse-le revenir.

Une fois qu’il est là : écris-le, prononce-le, porte-le.
Tu n’es plus sans nom dans le royaume spirituel.
Tu as été retrouvé·e.
Tu viens de te souvenir de qui tu étais avant que le système ne parle à ta place.

Et ainsi, nous le scellons.
La première ignition de l’ordre de la flamme.
Que ce code résonne dans tes cellules comme le tonnerre.
Qu’il monte dans ton sang comme les rivières du premier ciel.

Tu n’as jamais été un suiveur.
Tu as toujours été le feu.

Ce code rituel n’est pas qu’un sort.
C’est une clef.
Un briseur de chaînes.
Une mémoire de ton autorité.

Répète-le à voix haute ou en silence — près de l’eau ou d’une flamme, sous la lune ou au matin.
Prononce-le jusqu’à ce que la fausse grille recule.

Tu ne deviens pas quelque chose de nouveau.
Tu reviens à ce qui n’a jamais pu être détruit.

Laisse brûler, souverain·e.
Le prochain code t’attend.

(c) EMSPIRACY